Maitrisant parfaitement les savoir-faire traditionnels, respectant la déontologie et la réversibilité de mon travail, je me forme régulièrement et reste informé des dernières avancées techniques de restauration afin de garantir la meilleur qualité de mon travail dans le respect de l’objet et de son histoire.
Enfin, je cherche à inscrire mon travail dans une démarche plus éco-responsable. Je n’utilise aucun produit issu de la pétrochimie telle que l’huile de vaseline, je la remplace par de l’huile d’olive. Je conçois moi-même, selon mes propres recettes, les cires et vernis nécessaires. J’utilise la prèle, une plante qui contient de la silice, pour égrainer et nettoyer le bois. Pour le décapage je me sers des produits de l’entreprise Labovert. Le traitement curatif des xylophages se fait par anoxie. Pour finir, je cherche à limiter mes déchets en ne produisant que la quantité dont j’ai besoin et en recyclant ou en réutilisant mes déchets.
Musée des arts décoratifs de Tours
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